En cours…

Court terme

  • Projet d’écriture d’un livre contenant une chasse au trésor
  • Projet sur un nouvel indicateur écologique, image du gaspillage
  • Nouvelles compositions musicales en partenariat avec Dhensbro

Moyen terme

  • Projet de spectacle scientifique et humoristique sur le thème de la musique
  • Projet d’écriture d’un recueil d’histoires pour enfants

Long terme

  • Projet sur une nouvelle théorie en physique-mathématique

Lié au travail

  • Printemps des sciences 2025
  • Revue des étudiant-e-s 2025

Mes solutions de la Chouette d’Or©

Durant 5 ans, de 2019 à 2024, j’ai été pris par la fièvre de la chasse au trésor… et pas n’importe laquelle ! J’ai été un véritable « chouetteur » et j’ai été creusé en France 2 fois. Oui, j’ai creusé des trous en pensant y trouver un trésor !

La Chouette d’Or© a été découverte en Octobre 2024. Ce fut quand même un choc pour moi, vu que cette aventure m’avait passionné. De plus, comme tout chouetteur qui se respecte, je pensais être sur la bonne piste ! Héhé.

J’ai maintenant complètement tourné la page et j’en garde un souvenir formidable. Les aventures bien sûr, les anecdotes, les passions. De plus, sans le vouloir ma culture générale s’est (je pense) un peu améliorée. J’ai aussi développé une compétence dans la création de chasses au trésor !

J’ai posté mes solutions sur les principaux canaux de diffusion de la Chouette d’Or© (Discord, lachouette.net). Les voici. Attention, cet ouvrage s’adresse aux passionné-e-s ! D’ailleurs, le mot de passe est l’OUVERTURE.

Douche « brumisatrice »

Suite à un reportage, j’ai décidé de modifier mon système de douche et d’y installer un système de brumisation. Pourquoi et dans quel but ? Tout est expliqué dans cet article. Concrètement, en théorie ça consomme moins d’eau (apparemment 2-3 litres contre 6-7 litres voire beaucoup plus pour une douche classique) et… c’est une expérience de douche complètement nouvelle.

Le système de connexion proposé dans cet article ne m’a pas convaincu. C’est pourquoi je partage ici une liste de matériel qui m’a permis d’ajouter très facilement l’option brumisation à mon système de douche existant, pour lequel le raccord existant de la douchette est une sortie mâle standard internationale G1/2″ (1/2 pouce et donc 20mm de diamètre).

Le but de cet article n’est pas de faire la promotion de ce genre de système de brumisation, mais de partager mon expérience afin d’éviter aux personnes intéressées de commander du matériel inapproprié qui serait dès lors gaspillé.

En effet, le système proposé ici est résistant (tuyau et connectique robuste), modulable (connections faciles à réaliser), très facile d’installation (connections aisées et aucune compétence de plomberie attendue) et non-destructive (ne demande pas de modifier le système de douche existant). 

Liste de matériel (total : ~86€)

  • 1 vanne de dérivation de pommeau de douche 1/2″, afin de pouvoir choisir entre envoyer vers la douchette et/ou vers le système de brumisation. Par exemple ceci, à 17€ sur amazon.
  • 1 joint avec filtre inox 1/2″, afin d’éviter que des cailloux de calcaires n’obstruent les buses. Par exemple ceci, à 8€ sur amazon.
  • 1 raccord pneumatique avec filetage femelle 1/2″ vers 6 mm, afin de pouvoir connecter le tuyau d’eau. Par exemple ceci, à 15€ sur amazon.
  • 1 tuyau de 10m en polyuréthane, 6mm (diamètre extérieur) x 4mm (diamètre intérieur). Ce genre de tuyau est suffisamment résistant à la pression et à la température. Par exemple ceci, à 13€ sur amazon
  • 1 lot de connecteurs pneumatiques 6mm avec suffisamment de coudes et de tés. Ceci afin de guider de manière esthétique les tuyaux vers les buses. Par exemple ceci, à 16€ sur amazon.
  • 1 lot de ventouses pour tuyaux de 4/6 mm, afin que ça ressemble à quelque chose? Par exemple ceci, à 8€ sur amazon. Pour que les ventouses tiennent bien, il faut d’abord nettoyer la surface au vinaigre/décalcarisant puis tremper la ventouse dans de l’eau salée.
  • 1 lot de buses de brumisation réglables. Par exemple ceci, à 9€ sur amazon.

Photos du système 

J’ai déjà modifié 2 fois le système de manière à optimiser le nombre de jets et leur orientation. Voici le système actuel.

Points d’attention

  • Pour que votre chaudière se mette en route, il faut assurer un débit minimal. Le nombre de buses va déterminer le débit. 
  • La brumisation de l’eau génère de la buée et donc de l’humidité dans la salle de bain. Veillez donc à avoir un système d’extraction d’air correct ! Et réglez correctement les buses pour pas être dans un hammam.
  • Placer judicieusement les buses de manière à ce que les jets couvrent un maximum le corps (sinon certaines parties ont froid), sans en mettre partout, et ne pas trop en diriger vers le visage.
  • La brumisation de l’eau fonctionne très bien sur le corps, mais moins bien avec les cheveux longs qui nécessitent davantage d’eau. C’est pourquoi le système proposé ici permet les deux via la vanne : brumisation et douchette au même moment !

Bilan écologique et économique ?

Le système réalisé est-il écologiquement intéressant ? Et économiquement ? Pour déterminer cela avec précision, il faudrait mesurer la quantité d’eau utilisée sans le système et avec le système. C’est compliqué. Surtout que ça dépend des gens et des jours. En plus, il faudrait connaître les facteurs d’émission liés à l’eau chaude et au système de brumisation. Compliqué. Par contre il est possible de faire une estimation rapide.

Pour cela, faisons l’hypothèse que le système proposé permet l’économie de 3 litres d’eau par douche (j’ai installé 11 buses au lieu de 6 comme dans cet article).

Point de vue écologique : bien ou pas bien ? 
  • 3 litres d’eau chaude produite par la chaudière, c’est ±30 g de $CO_{2eq}$ (estimation grossière provenant de la distribution de l’eau et de son chauffage par la chaudière jusqu’à 60°C). 
  • le système de brumisation a été acheté sur Amazon et je pense que tous les articles ont été fabriqués en Chine. Il ne m’est pas possible de calculer le bilan carbone de chaque article, mais une recherche rapide me donne un chiffre de ±1 kg de $CO_{2eq}$ pour la livraison d’un colis de 500g, ce qui correspond à la masse du système de brumisation. Chaque article a nécessité d’être produit. Estimons cette production à ±10 kg de $CO_{2eq}$. Au total, le système a très certainement produit plus de 11kg de $CO_{2eq}$. 
  • Avec une douche par jour, sur base des grosses estimations ci-dessus, le système permet une diminution de son empreinte carbone après au moins 1 an d’utilisation.  
Point de vue économique : bien ou pas bien ? 
  • 3 litres d’eau chaude produite par la chaudière, c’est ±0,045 € (estimation grossière provenant de la distribution de l’eau et de son chauffage par la chaudière jusqu’à 60°C). 
  • le système de brumisation a été acheté sur Amazon et tous les articles a coûté 86€. 
  • Avec une douche par jour, sur base des grosses estimations ci-dessus, le système permet une diminution de sa facture après au moins 5 ans d’utilisation.  

Puissance, couple et inertie de démarrage

Il s’agit d’une réflexion sur la transmission de puissance entre deux roues dentées afin de faciliter la compréhension de la dynamique de couple.

rmq : travail en cours et non publié donc pouvant comporter des erreurs.

1. Couples

Soit une roue motrice de rayon $R_1$ (rayon du cercle primitif). Celle-ci subit/est le siège d’un certain couple moteur  $C_{m1}$, dont l’évolution au cours du temps et de la vitesse de rotation dépend du type de moteur. Supposons que la roue soit dentée et  qu’elle est connectée à une autre roue dentée de rayon $R_2$ (« récepteur »). L’accélération de la roue au cours du temps est donnée par (je fais l’hypothèse que le contact ne se fait que via 2 dents) :   

\[C_{m1}-f_{T} R_1\cos\alpha-f_{fr} R_1\sin\alpha = J_1 \epsilon_1\]

où $f_{T}$ désigne la force de réaction de la roue réceptrice sur la roue motrice, orientée suivant la ligne d’engrènement/de pression, qui forme un angle $\alpha$ avec la tangente aux cercles primitifs.   A cause du mouvement relatif entre les dents, une force de frottement $f_{fr}$ existe et  génère un couple résistif supplémentaire. J’ai négligé les autres types de frottements mais on pourrait très bien les intégrer dès maintenant (ex. : couple de frottement constant issu de l’axe, couple de frottement issu de l’air, etc.) Dans l’hypothèse des frottements solide-solide  on a $f_{fr}=\mu f_{T}$ avec $\mu$ le coefficient de frottement dynamique entre les roues. L’équation ci-dessus devient alors :

\[C_{m1}-f_{T} R_1\left(\cos\alpha+\mu\sin\alpha\right) = J_1 \epsilon_1\]

ce qui paraît cohérent car la réaction de la roue réceptrice sur la roue motrice ainsi que les frottements sont résistifs. 

Du côté de roue réceptrice, par action-réaction celle-ci subit des couples issus des forces  $f_{T}$ et $f_{fr}$  de sorte que son mouvement est donné par :

\[f’_TR_2\cos\alpha-f’_{fr} R_2\sin\alpha -C_{charge}= J_2 \epsilon_2\]

où $f’_T$ est « moteur » alors que $f’_{fr}$ non. Cette roue peut éventuellement subir un couple résistif supplémentaire $C_{charge}$. Par action réaction $f’_T=f_T$ et $f’_{fr}=f_{fr}$ (on suppose les dents rigide) de sorte que : 

\[f_TR_2\left(\cos\alpha-\mu\sin\alpha\right) -C_{charge}= J_2 \epsilon_2\]

Par ailleurs, les accélérations angulaires des deux roues sont reliées via le rapport de transmission (pas de « glissement » car roues dentées) :

\[i=\frac{\omega_1}{\omega_2}=\frac{\epsilon_1}{\epsilon_2}\]

On a donc

\[f_T = \frac{1}{R_2\left(\cos\alpha-\mu\sin\alpha\right)}\left(J_2\epsilon_1/i+C_{charge}\right)\]

Si l’on injecte cette expression dans le mouvement de la roue motrice, on obtient :

\[C_{m1}-\frac{R_1}{R_2}\frac{\left(\cos\alpha+\mu\sin\alpha\right)}{\left(\cos\alpha-\mu\sin\alpha\right)} \left(J_2\epsilon_1/i+C_{charge}\right)= J_1 \epsilon_1\]

Le rapport des rayons est relié au rapport de transmission via $R_1/R_2=1/i$. On peut dès lors réexprimer cette équation :

\[\boxed{C_{m1}=\left[J_1+\left(\frac{\cos\alpha+\mu\sin\alpha}{\cos\alpha-\mu\sin\alpha}\right)\frac{J_2}{i^2}\right]\epsilon_1+\left(\frac{\cos\alpha+\mu\sin\alpha}{\cos\alpha-\mu\sin\alpha}\right)\frac{C_{charge}}{i}}\] 

Cette équation met en évidence le concept de moment d’inertie équivalent :

 $$J_{eq}\equiv \left[J_1+\left(\frac{\cos\alpha+\mu\sin\alpha}{\cos\alpha-\mu\sin\alpha}\right)\frac{J_2}{i^2}\right]$$

qui dépend de manière quadratique de l’inverse du rapport de transmission et qui dépend de l’angle de pression $\alpha$ et du coefficient de frottement $\mu$. De plus, l’équation met en évidence le changement de couple de charge ressenti au niveau moteur. On peut aussi le voir différemment : $C_{charge}$ est aussi le couple qui peut être fourni par la roue réceptrice. 

2. Puissances

En termes de puissances, il suffit de multiplier à gauche et à droite par $\omega_1$ 

\[C_{m1}\omega_1=\left[J_1+\left(\frac{\cos\alpha+\mu\sin\alpha}{\cos\alpha-\mu\sin\alpha}\right)\frac{J_2}{i^2}\right]\epsilon_1\omega_1+\left(\frac{\cos\alpha+\mu\sin\alpha}{\cos\alpha-\mu\sin\alpha}\right)\frac{C_{charge}}{i}\omega_1\] 

car avec $P_{mot}\equiv C_{m1}\omega_1 $ et $P_{ut}\equiv C_{charge}\omega_2=C_{charge}\omega_1/i$ on obtient

\[P_{mot}=\left[J_1+\left(\frac{\cos\alpha+\mu\sin\alpha}{\cos\alpha-\mu\sin\alpha}\right)\frac{J_2}{i^2}\right]\epsilon_1\omega_1+\left(\frac{\cos\alpha+\mu\sin\alpha}{\cos\alpha-\mu\sin\alpha}\right)P_{ut}\] 

Cette expression met en avant le fait que la puissance motrice $P_{mot}$ est répartie en puissance nécessaire pour l’accélération (premier terme) et en puissance utile (liée au dernier terme).  

Le rendement $\eta\equiv\frac{P_{ut}}{P_{mot}}$ est dès lors donné par :

\[\eta\equiv\frac{P_{ut}}{P_{mot}}= \frac{\cos\alpha-\mu\sin\alpha}{\cos\alpha+\mu\sin\alpha}\left[1-J_{eq}\frac{\epsilon_1\omega_1}{P_{mot}}\right]\] 

Avec $P_{mot}=C_{m1}\omega_1$  de sorte que

\[\eta= \frac{\cos\alpha-\mu\sin\alpha}{\cos\alpha+\mu\sin\alpha}\left[1-J_{eq}\frac{\epsilon_1}{C_{m1}}\right]\] 

En phase d’accélération, au plus l’accélération angulaire $\epsilon_1$ est grande, au moins le rendement est bon car alors au plus de puissance est utilisée pour l’accélération des roues. En régime nominal, $\epsilon_1=0$ de sorte que 

\[\eta^{nom}=\frac{\cos\alpha-\mu\sin\alpha}{\cos\alpha+\mu\sin\alpha}\]

On voit que le rendement est d’autant meilleur que le coefficient de frottement $\mu$ est petit et que l’angle $\alpha$ est petit. Logique. A noter que le moment d’inertie équivalent peut aussi s’exprimer :

\[J_{eq}\equiv \left[J_1+\frac{J_2}{\eta^{nom}i^2}\right]\]    

Généralisation des frottements

En termes de puissances, en phase de démarrage, la puissance motrice est répartie en puissance utile, dissipée et « d’accélération ».

\[P_{mot}(t)=P_{acc}(t)+P_{ut}(t)+P_{dissip}(t)\]

Juste après le démarrage, les vitesses sont encore petites de sorte que $P_{dissip}\sim 0$ et $P_{ut}=C_{ut}\omega_{ut}\sim 0$.  Toute la puissance est utilisée pour accélérer le système et il reste peu de puissance utile (voir figure ci-dessous). Attention cependant cette phase d’accélération contient de frottements (voir ci-dessus).  

En régime nominal la puissance motrice est réparties en puissance utile et en puissance dissipées par les forces de frottement, qui sont alors constant puisque les vitesses sont constantes. 

\[P^{nom}_{mot}=P^{nom}_{ut}+P^{nom}_{dissip}\]

Le rendement nominal est alors donné par 

\[\eta^{nom}=1-\frac{P^{nom}_{dissip}}{P^{nom}_{mot}}\] 

Avec la relation ci-dessus, on a

\[\frac{P^{nom}_{dissip}}{P^{nom}_{mot}}=\frac{2\mu\sin\alpha}{\cos\alpha+\mu\sin\alpha}\]

Le facteur 2 est cohérent avec le fait qu’il y a des frottements sur chacune des 2 roues dentées. En effet :

\[P_{dissip}\equiv \left|\frac{dW_{frott}}{dt}\right| =\sum \left|\vec f_{frott}\cdot \vec v\right|=2\mu f_T v_R\equiv A\omega_1 \]

où $v_R$ désigne la vitesse relative entre les dents qui dépend certainement linéairement de $\omega_1$ qui saute alors dans la fraction ci-dessus -> ok cohérent. L’avantage de cette formulation est qu’il est possible de généraliser à tout type de frottements. En effet, ceux-ci ne sont pas forcément constants et peuvent dépendre de la vitesse, de sorte que (développement en série) :

\[P_{dissip}=\sum \left|\frac{d W_{frot}}{dt}\right|=\sum \left|\vec f_{frot}\cdot\vec v\right|+\left|\vec M_{frot}\cdot\vec \omega\right|=A\, \omega_1+B \, \omega_1^2+C \, \omega_1^3+…\]

A noter que c’est consistant avec les théorèmes :

\[dK_{syst} = \sum \delta W=P_{mot}\, dt+\delta W_{ut}+\sum \delta W_T+\sum \delta W_{frott}\]

où $\sum W_T=0$ désigne le travail des forces de contact, $\delta W_{frott}<0$ (car frottements opposés à la vitesse) et $\delta W_{ut}<0$ (car couple opposé à la vitesse – action/réaction : le système tire et subit)

\[\delta W_{ut}=-P_{mot}\, dt+dK_{syst}-\sum \delta W_{frott}\]

En termes de puissances :

\[P_{ut}= -\frac{dW_{ut}}{dt}= P_{mot}-\frac{dK_{syst}}{dt}+\frac{dW_{frott}}{dt}=P_{mot}-P_{acc}-P_{dissip}\]

où j’ai définit $P_{acc}= dK_{syst}/dt=\sum dK/dt =\sum J\epsilon\omega$ qui est bien en accord avec la forme $J_{eq}\epsilon_1\omega_1$ rencontrée plus haut. Pour trouver le moment d’inertie équivalent « ressenti » par la roue motrice, il suffit donc bien de s’intéresser à l’énergie cinétique :

\[K_{syst}=\sum K=\frac{1}{2}J_{eq} \omega^2_1\]

Attention cependant car cette méthode n’inclut pas la compréhension du rendement dans $J_{eq}$, qui provient des frottements ($P_{dissip}$ ci-dessus).

3. Généralisation

En prenant en compte les couples de frottements supplémentaires sur l’axe,  etc. on trouve rapidement :

\[\boxed{C_{m1}=\left[J_1+\frac{J_2}{\eta^{nom}_{dents}i^2}\right]\epsilon_1+\left[C_{frot}^{mot}(\omega_1)+\frac{C_{frot}^{rec}(\omega_1)}{\eta^{nom}_{dents}i}\right]+\frac{C_{charge}}{\eta^{nom}_{dents}i}}\]  

où $C_{frot}^{mot}(\omega_1)$ et $C_{frot}^{rec}(\omega_1)$ désignent  les couples de frottements supplémentaires sur chacune des roues dentées. Cette expression met en avant de manière simple que le couple moteur est utilisé pour accélérer le système (terme 1), vaincre les couples de frottements issus des axes, de l’air, etc.  (terme 2) et fournir un couple utile (terme 3). Attention car le rendement total nominal est maintenant différent d’avant et plus complexe (c’est pourquoi j’ai spécifié $\eta^{nom}_{dents}$).  Après développement, je trouve 

\[C_{m1}=\left[\frac{\eta^{nom}_{tot}}{\eta^{nom}_{dents}} J_1+\frac{J_2}{\eta^{nom}_{tot}i^2}\right]\epsilon_1+\frac{C_{charge}}{\eta^{nom}_{tot}i}\]

 

\[\eta^{nom}_{tot}=\eta^{nom}_{dents}\left\{1-\left[C_{frot}^{mot}(\omega^{nom}_1)+\frac{C_{frot}^{rec}(\omega^{nom}_1)}{\eta^{nom}_{dents}i}\right]/C_{m1}\right\}\]